terça-feira, março 20, 2007

No dia da francofonia

Acabo de ouvir, na rádio, que hoje é o dia da francofonia. E logo me saltam os últimos versos de um poema de Paul Eluard que me têm acompanhado na vida, e cito de cor(ação):
... et par le pouvoir d'un mot/je recommence ma vie/je suis naît pour te reconnaître/pour te nommer: LIBERTÉ!
E saúdo quem foi buscar ao temps des cerises (canção de amor no tempo da Comuna de Paris) o título e mote para o seu blog:
Quand nos en serons le temps des cerises,/ Et gai rossignol, et merle moqueur/ Seront tous en fête !/ Les belles auront la folie en tête/ Et les amoureux, du soleil au coeur/ Quand nous chanterons le temps des cerises,/ Sifflera bien mieux le merle moqueur !/
Mais il est bien court, le temps des cerises/ Où l'on s'en va deux, cueillir en rêvant/ Des pendants d'oreilles./ Cerises d'amour aux robes pareilles,/ Tombant sous la feuille en gouttes de sang./ Mais il est bien court le temps des cerises,/ Pendants de corail qu'on cueille en rêvant !/
Quand vous en serez au temps des cerises,/ Si vous avez peur des chagrins d'amour,/ Evitez les belles !/ Moi qui ne crains pas les peines cruelles,/ Je ne vivrai point sans souffrir un jour./ Quand vous en serez au temps des cerises,/ Vous aurez aussi des peines d'amour !/
J'aimerai toujours le temps des cerises :/ C'est de ce temps-là que je garde au coeur/ Une plaie ouverte !/ Et dame Fortune en m'étant offerte/ Ne pourra jamais fermer ma douleur./ J'aimerai toujours le temps des cerises/ Et le souvenir que je garde au coeur !

1 comentário:

Rosa dos Ventos disse...

Não sabia!
Não vem no Borda D´Agua!
E já agora:
"C´est un joli nom camarade!"